Sous ses allures discr\u00e8tes et modestes se cachait un g\u00e9nie. Maruja, Pacheco Huergo.<\/p><\/div>\n<\/figcaption>\nMaruja Pacheco Huergo de son v\u00e9ritable nom, Mar\u00eda Esther Pacheco Huergo \u00e9tait une femme remarquable. Je vous propose donc quelques \u00e9l\u00e9ments sur Maruja (surnom hypocoristique de Maria).
Si on se limite \u00e0 sa production de tango, on pourrait citer El adi\u00f3s, Don Naides, Milonga del aguatero, Sinfon\u00eda de arrabal, ou Vuelves et quelques autres dont elle est la compositrice et parfois aussi l\u2019auteure, comme pour le tango du jour dont elle n\u2019a \u00e9crit que les paroles. Mais elle a \u00e9crit aussi environ 600\u00a0titres dans tous les rythmes. C\u2019\u00e9tait donc une compositrice particuli\u00e8rement prolifique.
Mais Maruja \u00e9tait aussi pianiste, chanteuse, auteure et actrice, voire professeur de piano et de chant. Le meilleur est qu\u2019elle a fait tous ces m\u00e9tiers avec succ\u00e8s. Elle \u00e9tait l\u2019\u00e9pouse de Manuel Ferrad\u00e1s Campos, lui-m\u00eame \u00e9crivain de tangos et journaliste, mais avec nettement moins de rayonnement que son \u00e9pouse.<\/p>\n<\/figure>\n
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Extrait musical<\/h2>\n
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